Escroquerie à l'héritage

Sur votre site vous affirmez à juste titre que l'on puisse être loin de s'imaginer tous les problèmes et les difficultés que peuvent engendrer une succession, j'en fais actuellement la triste expérience à mes dépens après avoir eu mes droits bafoués depuis l'âge de 4 ans suite au divorce de mes parents :
L'exclusion de mon père ainsi que la totalité de ma famille paternelle, mon grand-père paternel en est mort de chagrin le 7 février 1956, un déracinement en famille d'accueil sous le matricule 11563 mes parents ne pouvant subvenir à mes besoins leur divorce de part l'obligation de la présence obligatoire d'avoués à cette époque qui contribuaient à instaurer un climat délétère entre les parties sans se préoccuper du devenir de l'enfant, une scolarité perturbée, une aliénation parentale infligée par ma mère à partir du moment où elle a enfin daignée élever son fils déjà âgé de 7 ans, une application abusive, expéditive et discriminatoire de l'article 371-4 une fois devenu adulte et parent à mon tour par vengeance du fait que j'avais enfin renouer contact avec ce père exclu et ma famille paternelle, le report d'affection de ce père sur la dernière fille de sa concubine qu'il a élevé depuis l'âge de 4 ans, la privation du droit d'héritage par mon père au motif d'être aussi l'enfant de ma mère et les dénis de justice me sanctionnant très lourdement tant moralement que financièrement ainsi que mes proches.
Pour ce qui est des enfants affectifs non reconnus dans les familles recomposées ils peuvent en violant le code civil faire déshériter légalement les enfants légitimes en acquérant les biens du parent affectif en viager celui-ci restituant la rente, le viager est ainsi détourné de sons sens pour devenir une escroquerie à l'héritage.
Pour ce qui est des tribunaux ce qui est du par la loi, sont essentiellement les lourdes sanctions prononcées à l'encontre des citoyens victimes d'un captage d'héritage en faveur des prédateurs.
Le Code civil, par la carence de l'article 918 ne protège pas tous les enfants du défunt qui se trouvent lésés de la réserve héréditaire et qui se trouvent dépouillés de leur part d'héritage.
J'ai pu constater que malgré mon combat je me suis heurté à l'acharnement de la magistrature qui au fil des audiences en a conclu que je n'avais pas plus de droit qu'un parricide et que je devais indemniser mes prédateurs d'héritage ( 3 000 +2 000 + 5 000 euros) et verser 4 575,81 euros d'émoluments au cabinet d'avoués de la partie adverse.

Comment admettre que la Cour de Cassation puissent déclarer une décision bien jugée quand elle m'est défavorable (la propriété viticole) et l'autre mal jugée quand elle m'est favorable (la maison familiale) alors que ces deux affaires ont suivi les mêmes juridictions, traités par les mêmes experts, les mêmes avocats, etc....?

De son vivant mon père a pu disposer de la totalité de ses biens pour les transmettre à sa belle fille affective sans contrepartie financière réelle. Pour preuve à son décès en 1997 il ne restait que 14 000 francs sur son compte bancaire somme incompatible avec une vie de travail, les ventes d'une propriété viticole dans le bordelais et d'une maison familiale, d'un bail à nourriture, d'une retraite et d'un train de vie modeste.
Les magistrats successifs ne se sont pas étonnés que le vendeurs se soit porté caution en faveur de son acquéreur, ce qui semblerait peu commun et à hauteur de 400 000 francs alors qu'il ne possédait plus qu'environ 20 000 francs sur son compte bancaire.
Il va sans dire que je n'ai jamais été prévenu de ces malversations, pas plus que de l'hospitalisation de mon père à qui je rendais visite plusieurs fois par an malgré les 550 km qui nous séparaient mais seulement de son décès, peut être aurait-il eu dans un dernier sursaut des choses à me dire.
Je n'ai récupéré aucun effet ou souvenir de mon père, pas plus qu'un petit cheval à bascule, jouet de mon enfance qui ne m'avait pas suivi lors de mon départ en 1955.

Il va sans dire que je n'ai plus aucune confiance en la justice de ce pays qui condamne avec une extrême sévérité une victime au profit de la bénéficiaire de ce captage d'héritage et du cabinet d'avoués de la partie adverse qui touche d'énormes dividendes, fruits des méfaits de ses prédécesseurs.

Pour ce qui concerne ce cabinet d'avoués que penser de sa moralité et de son sérieux quand par l'intermédiaire de mon avoué il s'est permis de réclamer le 28 janvier 2010 sachant que j'en étais à plus de 40 jours de grève de la faim et sans doute dans un état qui pouvait être suicidaire une facture gonflée de 36 416,95 euros, puis une seconde rectifiée mais toujours erronée de 18 439,30 euros le 22 février 2010, avant de demander des émoluments de 4 575,81 euros.

Somme confirmée à la grande satisfaction de ce cabinet d'avoués par jugement du 28 avril 2011.

Cordialement.

http://www,lodd,fr

jeu. mai 12, 2011 3:22 pm