SOS !!! Etranger non-résident : qui sont les héritiers ?
Publié : jeu. oct. 30, 2008 9:14 pm
Bonjour à tous,
Voici les données du problème auquel nous sommes aujourd'hui confrontés :
1. Le frère de mon épouse est décédé récemment (été 2008).
2. De nationalité marocaine, il était retourné vivre au Maroc en 2000, après avoir passé plus de 15 ans en France.
3. Il a épousé en première noces une femme de nationalité française en 1985. Ce premier mariage a été transcrit en droit français.
4. De leur union est née une petite fille en 1988. Elle vient d'avoir 18 ans et possède la double nationalité. Elle vit en France depuis 2007.
5. Il a divorcé de cette première femme en 2005. Le divorce a été prononcé au Maroc et n'a apparemment pas été transcrit en droit français.
6. Il s'est remarié en secondes noces en 2006 avec une femme de nationalité marocaine. Comme aucun des deux ne possédat la nationalité française et qu'ils résidaient au Maroc, le mariage n'a pas été transcrit en droit français.
7. Il possédait à son décès un compte courant en France (dans une agence de la régio parisienne), ainsi qu'un portefeuille d'actions géré par cette même agence.
8. Il n'a pas laissé de testament.
Nous aimerions que l'argent qu'il possédait en France puisse, conformément à sa volonté (aucun écrit) revenir intégralement à sa fille unique (qui possde la nationalité française et réside à présent en France).
Or les avoirs qu'il possédait en France suscitent aujourd'hui les convoitises de sa première épouse et de sa seconde épouse.
Ces dernières peuvent-elles prétendre à une part de l'héritage en ce qui concernent les avoirs qu'il possédait en France ? Si oui, à quelle hauteur.
Merci d'avance de vos réponses. Si possible, n'hésitez pas à faire référence aux textes applicables (lois, conventions, ...).
Voici les données du problème auquel nous sommes aujourd'hui confrontés :
1. Le frère de mon épouse est décédé récemment (été 2008).
2. De nationalité marocaine, il était retourné vivre au Maroc en 2000, après avoir passé plus de 15 ans en France.
3. Il a épousé en première noces une femme de nationalité française en 1985. Ce premier mariage a été transcrit en droit français.
4. De leur union est née une petite fille en 1988. Elle vient d'avoir 18 ans et possède la double nationalité. Elle vit en France depuis 2007.
5. Il a divorcé de cette première femme en 2005. Le divorce a été prononcé au Maroc et n'a apparemment pas été transcrit en droit français.
6. Il s'est remarié en secondes noces en 2006 avec une femme de nationalité marocaine. Comme aucun des deux ne possédat la nationalité française et qu'ils résidaient au Maroc, le mariage n'a pas été transcrit en droit français.
7. Il possédait à son décès un compte courant en France (dans une agence de la régio parisienne), ainsi qu'un portefeuille d'actions géré par cette même agence.
8. Il n'a pas laissé de testament.
Nous aimerions que l'argent qu'il possédait en France puisse, conformément à sa volonté (aucun écrit) revenir intégralement à sa fille unique (qui possde la nationalité française et réside à présent en France).
Or les avoirs qu'il possédait en France suscitent aujourd'hui les convoitises de sa première épouse et de sa seconde épouse.
Ces dernières peuvent-elles prétendre à une part de l'héritage en ce qui concernent les avoirs qu'il possédait en France ? Si oui, à quelle hauteur.
Merci d'avance de vos réponses. Si possible, n'hésitez pas à faire référence aux textes applicables (lois, conventions, ...).