traité plus mal qu'un paricide
Publié : ven. mars 19, 2010 7:28 pm
Bonsoir,
Mon père est décédé en 1997 laissant sur son compte environ 14000 francs pour tout héritage.
Je trouve cette somme incompatible comparée aux ventes viager d'une propriété viticole dans le bordelais, d'une maison familiale, d'un bail à nourriture, une retraite, une vie de travail et un train de vie modeste.
- Les ventes ont été effectuées sans que j'en soit informé.
- Des liens affectifs réels et forts existaient entre le vendeur et l'acquéreur, le vendeur a toujours considéré l'acquéreur comme sa fille, l'acquéreur a toujours considéré le vendeur comme son père, une lettre en atteste.
- Les modalités des deux ventes non pas été respectées.
- La mère de l'acquéreur concubine du vendeur était la deuxième tête de la vente de la maison.
- Mon père était caution de l'acquéreur sans que j'en soit prévenu.
- Mon père était également caution d'une tierce personne qu'il connaissait depuis peu qui se trouve être maintemant le mari de l'acquéreur.
- Je n'ai récupéré aucun effets, mobiliers ou souvenirs de mon père, pas même ce qui m'appartenait en propre (un petit cheval à bascule de mon Noël 1954 à l'état neuf).
- Etc.......
De plus aprés de trés longues années de procédures j'ai été condamné a verser environ 15000 euros à mes spolieurs pour avoir eu l'outrecuidance de réclamer l'obtention de mes droits.
Pour plus d'informations je vous invite à consulter le site http://www.lodd.fr
Cordialement.
Mon père est décédé en 1997 laissant sur son compte environ 14000 francs pour tout héritage.
Je trouve cette somme incompatible comparée aux ventes viager d'une propriété viticole dans le bordelais, d'une maison familiale, d'un bail à nourriture, une retraite, une vie de travail et un train de vie modeste.
- Les ventes ont été effectuées sans que j'en soit informé.
- Des liens affectifs réels et forts existaient entre le vendeur et l'acquéreur, le vendeur a toujours considéré l'acquéreur comme sa fille, l'acquéreur a toujours considéré le vendeur comme son père, une lettre en atteste.
- Les modalités des deux ventes non pas été respectées.
- La mère de l'acquéreur concubine du vendeur était la deuxième tête de la vente de la maison.
- Mon père était caution de l'acquéreur sans que j'en soit prévenu.
- Mon père était également caution d'une tierce personne qu'il connaissait depuis peu qui se trouve être maintemant le mari de l'acquéreur.
- Je n'ai récupéré aucun effets, mobiliers ou souvenirs de mon père, pas même ce qui m'appartenait en propre (un petit cheval à bascule de mon Noël 1954 à l'état neuf).
- Etc.......
De plus aprés de trés longues années de procédures j'ai été condamné a verser environ 15000 euros à mes spolieurs pour avoir eu l'outrecuidance de réclamer l'obtention de mes droits.
Pour plus d'informations je vous invite à consulter le site http://www.lodd.fr
Cordialement.